Tour d’horizon sur l’Assurance Dommages Ouvrage

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Selon le Code des assurances, l’Assurance Dommages Ouvrage est obligatoire pour les maîtres d’ouvrage et les particuliers souhaitant réaliser une extension/une construction de maison. Connue également sous l’appellation « Assurance construction », ce dispositif est une protection pour les deux parties. Zoom sur 3 points à connaître sur le sujet.

L’objectif de l’Assurance Dommages Ouvrage

L’A.D.O détient de nombreux objectifs, mais les deux principaux sont :

• La protection du particulier par rapport aux dégâts sur chantier ;
• La protection du professionnel contre les attaques judiciaires du client.

Ainsi, cette assurance est utile, autant pour l’un que pour l’autre, si jamais des irrégularités sont constatées sur chantier (ou après) et doivent être réparées.

Le profil des souscripteurs

Pour souscrire une Assurance Dommages Ouvrage sur www.rok.immo, il est impératif de répondre aux critères suivants :

• Être une personne physique ou morale, agissant en qualité de propriétaire de l’ouvrage, de vendeur, et même de mandataire du propriétaire de l’ouvrage. Les promoteurs immobiliers font aussi partie des personnes qui doivent souscrire une A.D.O ;
• Être résident français ou expatrié, mais présentant des papiers en règle.

Ce type d’assurance doit être souscrit au début de chantier, généralement, durant la phase d’étude du projet. Il est possible de la souscrire au sein des établissements proposant la garantie décennale. Les deux parties doivent effectuer la demande de leur côté, car l’Assurance Dommages Ouvrage est facultative.

Les avantages de l’Assurance Dommages Ouvrage

L’Assurance Dommages Ouvrage détient de nombreux avantages, mais le plus important reste la protection qu’elle offre au souscripteur. Elle est bien plus avantageuse que la garantie décennale, car elle ne nécessite pas de décision de justice pour être octroyée. De plus, le déblocage des fonds nécessaires pour les réparations peut prendre moins de 48 h (selon les politiques de l’établissement choisi). Cela évite que l’indemnisation des éventuelles malfaçons soit trop longue à obtenir, par rapport à la nécessité de réparer le bien immobilier. C’est, par exemple, le cas pour une revente.


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